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Votre guide de haute montagne
Niels Cochard
D’aussi loin qu’il m’en souvienne, j’ai toujours aimé être dehors. Déjà tout petit, j’adorai aller marcher dans mes Vosges natales. Puis ce fut la découverte du ski à 5 ans, puis de l’escalade à 14 ans, de l’alpinisme à 16 ans… Les Vosges devenues trop petites, j’ai déménagé dans les Alpes dès que j’ai pu, pour élargir mon terrain de jeu. Après toutes ces années de pratique, il était temps pour moi de transmettre cette passion qui m'anime depuis toujours. Diplômé Guide de Haute Montagne UIAGM en 2025, je serai ravis de vous accompagner en montagne et de vous transmettre mes connaissances de ce milieu si particulier et si envoûtant !
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la haute montagne
Mes valeurs
Ce que j’ai toujours aimé en montagne, c’est l’esprit de cordée. Je n’ai jamais vu l’alpinisme sous le prisme de la compétition ni même de l’exploit. Je n’ai jamais tiré de gloire ou de fanfaronnade à gravir un sommet, à “vaincre” une montagne. L’important pour moi, c’est le partage, le chemin, le dépassement de soi avec les autres. Les liens que l’on crée là-haut sont uniques. Encore maintenant, lorsque l’on me demande quelle course me ferait rêver de faire avec un client, je réponds toujours que la personne avec qui je partage la course m’importe plus que la course partagée !
Même s’il n’est pas toujours facile de coller à 100% à ces convictions dans le monde actuel, j’essaye toujours de privilégier les courses sans remontées mécaniques, les chemins de traverse aux voies normales, le ski de randonnée au ski alpin etc… Bien sûr les grandes classiques le sont pour une bonne raison, mais une fois ces courses faites, j'essaierai toujours de vous attirer vers d’autres moins connues, plus sauvages et moins fréquentées pour vous faire vivre ce lien si particulier que l’on a avec la nature lorsque l’on est seul en montagne !
Je n’ai jamais été à proprement parlé une tête brûlée. Bien sûr, lorsque l’on pratique des sports comme l’escalade, l’alpinisme, la cascade de glace, le ski de randonnée ou le parapente, il faut aimer sortir de sa zone de confort ! Mais je n’ai jamais aimé dépasser les limites. Encore une fois, ce qui compte pour moi, c’est le partage et le chemin plus que le sommet et l’exploit. C’est en grande partie pour cela que j’ai voulu passer le guide ; être le mieux formé possible pour faire découvrir ce milieu qui m’est si chèr avec le plus de sécurité possible.
Être guide indépendant, sans être attaché à une structure qui vous donne des clients que vous ne reverrez sans doute jamais, c’est à la fois le plus dur mais aussi le plus intéressant dans ce métier. Cela veut dire que vous portez une attention toute particulière aux personnes que vous emmenez en montagne. Vous élaborez les projets ensemble, sur mesure, en fonction des motivations et du niveau de chacun. C’est la liberté absolue de faire et de transmettre ce que l’on veut, ce que l’on aime, ce qui nous fait vibrer !
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